Prêt.e à prendre conscience des mécanismes… et à choisir ce qui est bon pour toi et pour le monde ?
C’est ce que propose le Tantra :
* non pas de (vouloir) changer artificiellement les choses extérieures, de casser (du sucre ou des briques) sur ce que nous voyons/percevons, de nous battre contre les “ennemis” que nous nous sommes créés (tout cela n’est que projections, oeuvre du mental-menteur, la 3D…)
* mais d’apporter la lumière de la conscience sur nos propres mécanismes, aussi en regard de ce que nous projetons et de nos réactions émotionnelles
… et de là, d’aller au-delà de la conscience, de transcender ce plan de réalité… et en créer tout naturellement une autre, plus adaptée à ce que nous sommes vraiment…

J’ai beaucoup acheté en supermarché et j’y vais encore un peu (trop, mais je suis douce aussi avec mes parts insécures et conditionnées : je leur laisse le temps de constater leurs attachements névrotiques et de se libérer à leur rythme.)
Pas à pas, j’avance inexorablement, et parfois en dansant, en sautant, en faisant des tours et détours, en m’enfonçant ou en planant… : je ne suis pas pressée, je n’ai pas de but à atteindre à une échéance.

Oui notre alimentation parle de nous et de notre chemin, dans le conscient et l’inconscient. Comme notre communication.
Et en fait je ne peux pas prendre grand soin de l’une sans m’occuper de l’autre : tout ce qui entre (que ce soit matériel ou plus subtil) a un impact sur nos émotions, nos sentiments, nos pensées, notre santé physique, énergétique, psychique voire spirituelle…

Et ce qui entre, c’est aussi les impressions : tout ce que nous sentons, voyons, touchons, entendons, écoutons, goûtons.
D’où l’importance aussi de ne pas nous polluer par ce que nous ne choisissons pas consciemment de consommer, à la télé, la radio, les affiches, les fausses croyances appliquées/répétées pour nous asservir…
Porter de la conscience sur tout cela. Et, comme pour l’alimentation, nous pouvons être/rester ouverts et conscients en nous laissant pénétrer par une certaine dose (différente selon les personnes), mais nous sommes contraints de fermer si c’est trop (question de survie de l’être ainsi malmené, au fond de soi).
Certaines pratiques (en Tantra notamment), certains soins énergétiques, soutiennent aussi l’être à être moins perméable à son environnement, à le préserver dans une bulle/enveloppe.

Et nous avons d’autres sens (de l’ordre de l’extra-sensoriel, au-delà des sens physiques et qui y sont parfois liés) : l’intuition, le clairsenti, la clairvoyance, la clairaudience, l’écoute des sensations internes, l’extase…

D’ailleurs, ce sont souvent des personnes naturellement très sensibles (et donc potentiellement connectées) qui se mettent à fumer, à se droguer, à boire… pour essayer d’amoindrir leurs propres perceptions.
Se trouvant inconfortables avec leurs ressentis, elles tentent de les éteindre, de les faire taire. Ne sachant pas communiquer (j’écrirai un article à ce sujet: la communication, car c’est bien plus que ce que l’on pense a priori), elles souffrent et s’anesthésient de leur mieux.

A savoir/comprendre : sensibilité et souffrance ne sont pas liées. Voici une croyance à déconstruire en urgence !
La souffrance est une conséquence de la réaction, de la contraction, du refus, de la résistance, du refus de se laisser suivre son coeur…
Quant à la sensibilité, c’est le seul chemin pour véritablement vivre ! L’accès à tous les plaisirs. La voie royale pour le juste, le beau, le bon, le vrai, la réalisation de l’être sur/avec Terre.

Oups je suis un peu sortie du sujet…


“L’HORREUR ALIMENTAIRE” – écrit par JL Ganivet

Si vous avez acheté du miel récemment, vous avez probablement touché du doigt, sans le savoir, «l’horreur alimentaire».
Même si vous avez acheté du «miel de montagne» ou du «miel bio». Avec le jeu subtil des étiquetages, plus personne ne connaît aujourd’hui la véritable origine des aliments que l’on achète.

Quand vous voyez un miel bio origine «Origine UE et non UE», cela veut dire qu’il y a peut-être 10 % de miel européen bas-de-gamme dans le pot, et le reste vient probablement de Chine.
Et encore, quand on parle de «miel chinois», tous les industriels savent que c’est un affreux abus de langage.
«Là-bas, chez nos fournisseurs, je n’ai jamais vu de ruches ! Juste des laboratoires qui fabriquaient des sucres liquides. En réalité, c’est un assemblage de sirop de glucose et de différents sucres, de colorants, arômes, pollens et diverses substances mystérieuses dont seuls les Chinois connaissent le secret !»

Celui qui révèle ce scandale, c’est Christophe Brusset. Cet homme est un «repenti» de la mondialisation alimentaire. Il a été «trader» dans l’agro-alimentaire pendant 25 ans. Il a monté les pires escroqueries… acheté les produits les plus infâmes… Et trouvé les astuces les plus ignobles pour tromper le consommateur… avant de tout arrêter, écœuré par ce qu’il a fait et vu pendant toutes ces années.

Vous vous demandez peut-être comment il est possible qu’en France, du miel vendu en supermarché puisse être du «faux miel», fabriqué sans la moindre abeille… dans une usine chinoise ?
C’est très simple, je vais vous expliquer.
Les industriels ont une imagination sans limite : ils envoient du mauvais miel chinois au Brésil, et il revient comme « Miel d’Amazonie ».

Par exemple, pour réussir à importer du « faux miel » chinois aux Etats-Unis, voici la technique employée par un gros fournisseur allemand : «Il exporte massivement du miel chinois dans des pays comme l’Argentine, le Vietnam ou l’Inde. Là-bas, il change les étiquettes, et le réexporte tel quel avec un faux certificat d’origine».

On a la même chose dans les rayons des supermarché en France.Si vous voyez «Miel d’Amérique latine», méfiance.Ces pays exportent leur vrai miel vers les Etats-Unis, pas en Europe : il y a beaucoup de chance pour que ce soit du miel chinois ré-étiqueté, et expédié depuis le Mexique.Hélas, il n’y a pas que le miel qui est « traficoté ».

Il vous arrive peut-être de craquer pour une bonne tartine à la confiture de fraises.
Si vous la faites vous-même, très bien : elle sera sûrement moins gorgée de sucre, et puis les fraises seront… des fraises.
Mais si vous achetez un pot de confiture dans un supermarché, c’est une autre histoire.
Il y beaucoup de chances qu’au lieu de manger de la fraise, de la framboise, ou des cerises, vous mangiez du… sureau.
Même la confiture de fraise est truquée.
Oui, c’est un des concentrés de fruits les plus vendus au monde : et bizarrement, personne n’en a jamais entendu parler.
Mais pourquoi diable mettraient-ils du sureau dans notre confiture de fraises ?
«La réponse est simple : le jus de sureau est le moins cher des jus de fruits rouges. Il est très coloré, son goût pas très marqué, il se mélange donc très bien, très discrètement avec les autres fruits rouges. Il est très fréquent que du jus de sureau remplace tout ou partie de fruits plus chers (comme les fraises, les framboises, les cerises ou les groseilles) dans les coulis, confitures et autres préparations aux fruits».

Même chose avec les délicieuses glaces à la vanille. Sur la liste des ingrédients, vous verrez sûrement «gousses de vanilles épuisées».
Et personne ne se demande jamais ce que c’est. Eh bien, je vais vous le dire. Ce n’est rien d’autre qu’un déchet. C’est ce qui reste de la vanille, après l’extraction chimique des arômes (à l’hexane, une substance cancérigène). C’est une poudre noire sans saveur, comme du marc de café, qui ne sert que de «marqueur visuel», c’est-à-dire faire croire qu’on a mis de la vraie bonne vanille pour donner le goût.

Je ne vais pas lister ici toutes les techniques perfides de l’industrie alimentaire : vous les retrouverez dans le dernier livre de Christophe Brusset : Et maintenant on mange quoi ?
Si je vous dis ça, c’est parce qu’il faut prendre conscience (je suis sûr que c’est déjà votre cas à vous) – qu’on est arrivé dans l’ère de l’horreur alimentaire. Il me semble qu’il est de notre devoir à chacun d’informer le maximum de personnes de ce qu’il y a dans nos assiettes.