La sensibilité est proche de la vulnérabilité : qualité propice à l’empathie, à la compassion, à la relation authentique…
La sensibilité est un préalable à la vraie sensualité : non pas celle des clichés, artificielle, qui ne nous correspond pas forcément ou pas toujours. La sensualité en tant que pure joie d’être incarné.e et conscience corporelle : le lien à l’intelligence du corps, lui-même très lié à note monde psychique, en plus concret. Notre matière nous parle et la guérison de nos blessures passe par son écoute attentive voire attentionnée, et détendue.

 

Puissance : capacité à se relier à sa force créatrice, conscience de la Vie qui circule en soi et du pouvoir que l’on a.

 

Autonomie : me rendre compte que je suis la seule personne capable de combler mes besoins… et que je le peux en soignant mes failles/blessures et en apprenant à prendre soin de mes parts, de tout ce qui vit en moi (et en projection autour de moi). Sinon, je peux n’être qu’un puits sans fond, qui ne sait pas profiter de ce qui est reçu en permanence (informations et Amour de Mère-Terre et de Père-Ciel ainsi que de toute la Création).

Le concept d’autonomie s’allie très bien avec la notion d’interdépendance : car oui nous avons besoin aussi les uns des autres pour combler nos besoins. C’est le principe de la dualité expérimentée ici-bas. Seul.e, on ne va pas très loin ni très haut ni très profond… mais on ne peut avancer qu’avec soi-même, que depuis soi.
Concernant l’autonomie, savoir également que l’auto-régulation (de sois à soi) ne remplace pas la co-régulation et la co-régulation ne remplace pas l’auto-régulation : nous devons apprendre à être notre meilleur.e ami.e… et à relationner aussi au mieux.