Tout bientôt, la version audio de cet article long et dense.
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Il y a tellement de sens !

Parlons de la multiplicité des sens.

Quels sens pour « les sens » ?

Cela peut parler :

  • des sens physiques pour percevoir l’extérieur
  • des sens physiques pour les perceptions internes
  • des sens psychiques ou extra-sensoriels
  • des sens supra-psychiques : le règne de la supra-conscience.

Puis dans un tout autre registre, « les sens » peuvent faire référence à la direction (« Dans quel sens choisis-tu d’aller ? »)

Également, « les sens » peuvent signifier les raisons/causes (« Quel sens y a-t-il à cela ? »)

Ce qui parle aussi d’un besoin de l’être humain : le besoin de sens (« Cela a du sens pour moi. ») D’ailleurs ce besoin est tellement important pour l’âme et la conscience humaines, que faute de réelle compréhension complète du Tissage, de la Vie, etc, il est parfois nécessaire de s’ancrer dans la foi (la croyance que tout cela a du sens, que Dieu, la Nature, l’Univers… est aux commandes).

Et il y a encore d’autres définitions : l’essence en tant que carburant, énergie (comme dans « j’ai besoin d’essence pour mon véhicule), ou même la source ou la raison d’être (par exemple, dans « c’est quoi l’essence du Tantra ? »)

Peut-être même trouverez-vous d’autres significations à « la multiplicité des sens ». Déjà il m’en vient d’autres car « multiplicité » est loin d’être un terme neutre, surtout lorsque l’on est adepte de la non-dualité 😉

Mais ici ce qui m’intéresse c’est de faire un topo sur la première catégorie dont j’ai parlé : ce que l’on appelle communément « nos sens ».

Par rapport aux sens, l’humain n’est ni mieux ni moins bien loti que les autres animaux.

Il existe des ressemblances et des différences avec toutes les espèces animales : à chaque espèce ses spécificités, ses points forts et ses points faibles.

Les sens tournés vers l’extérieur

Mais ce qu’on nous enseigne à l’école et même avant… est faux… ou très parcellaire : limité donc limitant.

En effet, on nous dit que nous avons 5 sens.

Or il ne s’agit là que de ceux dédiés à notre relation physique au monde extérieur à notre corps. Ils sont en effet reliés aux sont en effet reliés aux « organes des sens » :

  • Vue (avec les yeux)
  • Toucher (avec la peau)
  • Odorat (par le nez )
  • Goût (avec la bouche)
  • Ouïe (par les oreilles)

A savoir : ces organes reçoivent aussi énormément d’informations que notre cerveau ne traduit pas. Par exemple les ultra-sons ou les infra-basses ou des saveurs qu’on ne sent pas en étant enrhumé ou des couleurs auriques, etc.

Nos sensations sont fonction directe de notre sensibilité : l’organe ne fait pas tout, encore faut-il avoir accès à ce qu’ils reçoivent. Par exemple, la sensation procurée par la caresse d’une plume sur une zone donnée peut être très différente selon l’état de la personne, son état d’esprit, ce qu’elle a vécu auparavant (sur cette zone ou ailleurs), sa relation avec la personne qui applique ladite caresse, etc.
C’est la distinction entre l’organe et la fonction, entre le fond et la forme, entre la matière ou le fait et ce qui est en traduit.
Or pour attiser notre sensibilité (et moins notre émotionnalité, toujours prompte à nous manipuler en nous coupant de la source de la sensation… de la Source elle-même ?), c’est justement de ne pas se laisser embarquer par le processus mental. Et pour cela c’est de toujours revenir à la base, à ce que je sens vraiment, sans en tirer de conclusion, sans y réagir ni y surréagir.

Un exemple : si je vois une personne avec qui je suis en conflit.
Cela provoque automatiquement des sensations (physiques) et émotions (système nerveux) en moi. La réaction peut être a priori le figement, la fuite ou l’attaque. C’est instantané. Puis si je reste calme (maîtrise de ma respiration, de mon corps, tout en restant à l’écoute : observation intérieure et extérieure), je peux me placer dans le Cœur (des vibrations plus élevées) et choisir une réaction susceptible de générer plus de paix. Et oui cela peut être difficile dans un premier temps, car tellement différent de ce qu’on appris et surtout agir en conscience nécessite énormément d’ancrage, d’alignement et d’humilité. Ces qualités s’acquièrent et s’entretiennent avec les méthodes du Tantra et bien d’autres. Mais quoiqu’il en soit elles nécessitent un travail intérieur constant, dans la détente !
Pour en revenir à l’exemple « je vois une personne avec qui je suis en conflit », surréagir aurait été de donner complètement foi à mon a priori en ayant la réaction animale à la peur, c’est-à-dire figement/dissociation, fuite ou attaque, car oui la réaction de colère, l’agressivité, fait partie de la réaction à la peur. Toutes ces réactions sont peut-être propres à assurer la sauvegarde immédiate dans un contexte de danger grave et imminent, mais elles sont inadaptées à notre monde actuel et ne laissent pas l’opportunité au changement et donc au processus de pacification (intérieure et dans la relation).
Or, s’il n’y a pas de paix en moi, c’est impossible de laisser toute sa place à la paix à l’extérieur de moi… et mon monde reste en conflit permanent. Une autre voie existe, et elle exige la responsabilisation (et je précise que cela n’a rien à voir avec la culpabilisation).

Les perceptions extra-sensorielles

A savoir aussi : ces 5 sens ont aussi des extensions extra-sensorielles, plus ou moins développées, selon les personnes et les moments de leur vie.
Parfois ces perceptions se rétrécissent voire se perdent et parfois s’étendent. C’est en fonction des choix conscients et inconscients de l’individu, et probablement aussi relativement à d’autres facteurs : ce qui était prévu pour l’expérience de cette personne et ce qu’elle met en œuvre pour déployer ses potentiels (ses potes-en-ciel).

Ainsi, nombreux sont les jeunes enfants qui voient des choses que les adultes ne voient pas et qui se plaignent de ne pas être à l’aise à certains moments, avec certaines personnes. Puis souvent ils se protègent face à l’incompréhension de leurs référents adultes, en se coupant de leurs capacités.

Néanmoins on peut ré.apprendre à voir au-delà de nos limites mentales, du monde de la 3D. Trop bizarre de croire que l’Univers tout entier pouvait être défini par 3 dimensions !

Le versant sombre des perceptions extra-sensorielles, c’est en effet que dans notre société il peut être dangereux de les afficher ou de ne pas savoir quoi en faire.

En effet, il semble que les hôpitaux psychiatriques soient remplis de personnes perdues dans des plans de conscience non compris par les médecins. Ainsi sont traitées de folles (ou psychiquement atteintes) des personnes simplement capables de voir ou d’entendre des choses réelles mais inaccessibles au commun. Et c’est difficile de faire la part des choses, car en effet la psyché peut aussi créer des illusions parfaites… et tout à fait fausses pour autant.

Alors : clair-vision ou affabulation ?

Ces perceptions extra-sensorielles ont différents noms.

  • Lorsque le canal des perception n’est pas clairement défini, on parle de : clair-ressenti ou clairsentience ou clairvoyance (percevoir les réalités/vérités au-delà des sens physiques)
  • Clair-vision (percevoir au-delà de la vue traduite par le cerveau binaire, le mental)
  • Clairsenti ou clair-toucher (sentir au-delà du toucher)
  • Clairaudience (entendre au-delà de ce que les autres entendent)
  • Clair-odorat ou clair-olfactif (sentir au-delà de ce que les autres sentent par leur nez)
  • Et je pense qu’ici (parmi les sens qui nous relient à l’autre, aux autres), on peut citer aussi l’empathie (qualité due aux neurones-miroirs).

Les sens tournés vers l’intérieur

En plus des 5 sens et de leurs extensions dans le subtil, existent ceux qui nous relient à notre monde intérieur :

  • Proprioception (en lien avec l’oreille interne : perceptions liées au mouvement, ainsi qu’au rapport à l’espace et à la gravité ; il parle de l’équilibre)
  • Thermoception (connaissance de la température)
  • Interoception (activité et état de notre organisme)
  • Neuroception (le système nerveux et de ses messages)
  • Nociception (sensibilité à la douleur)
  • Et j’en oublie au moins un. Lequel ?

Comme pour les sens nous reliant au monde extérieur, ceux-ci sont plus ou moins développés… et peuvent être entraînés, déployés, davantage mis au service de notre propre évolution.
Par exemple, je connais des femmes qui sentent précisément le moment de leur ovulation et/ou savent exactement quand leurs règles vont se déclencher.
Et savoir si notre corps a vraiment faim ou si c’est plutôt notre mental et nos émotions qui sont aux commandes, c’est important aussi. Or la satiété vient de l’interoception.

L’importance de se connaître

J’ajoute ici l’importance de se connaître, et que cela passe être à l’écoute de son état intérieur. Pour mieux percevoir ce qui se vit là-dedans et donc mieux comprendre mes réactions, pour ne plus être manipulé.e par un mécanisme peut-être inadapté maintenant, c’est aussi en allant à la rencontre de mon intérieur en étant accompagné.e, dans un cadre sécure. Car sinon ce que je prends pour une vérité inaliénable est parfois une pure aliénation justement : comme dans toutes les situations où c’est la peur qui me dicte quoi faire, alors qu’il n’y a pas de danger réel.
Cela me fait penser aux réactions psychiques et émotionnelles fortes – voire l’agressivité – lorsque certaines personnes voient une photo d’encordage Shibari par exemple ou voient une scène qu’elles assimilent à de la violence. Oui nous avons en effet grand besoin de purger la violence… et ce n’est certainement pas en la projetant à l’extérieur, en la remarquant ailleurs (et aussi là où elle n’est pas) sans la visiter et l’apaiser à l’intérieur de nous-mêmes. Les stages « Tantra et Shibari » et « Tantra et bdsm » ont cette vocation aussi : il s’agit entre autre d’agrandir notre zone de confort et donc notre liberté d’être en Vérité, par l’exploration en conscience et en connexion avec son/sa partenaire de pratique.

Lorsque l’on sait l’état de son système nerveux, on en est moins victime : savoir que la dissociation ou l’explosion est proche, me permet de prévenir mon interlocuteur, qui peut alors choisir d’agir en conséquence.

Déjà nous avons tous ces sens-là dont les enseignements sont inexistants à l’école !
Pourtant on ne peut pas prétendre qu’ils n’existent pas. Moins on en parle, moins on leur laisse de place, moins ils peuvent se déployer… et plus on est des moutons blancs, prêts à suivre le troupeau qui va dans le précipice… pourtant cela peut changer : à l’écoute des messages intérieurs, nous devenons davantage capables d’agir différemment, pour le meilleur.

Les sens nous reliant à Plus Grand

D’autres sens encore sont à notre disposition : ceux nous reliant à Plus Grand. Je mets dans cette catégorie :

  • Intuition (c’est-à-dire l’évidence au-delà du processus mental, le savoir qui n’a pas besoin de « ça voir », de « voir ça »… et ne peut donc pas s’expliquer et encore moins se justifier)
  • Omniscience (car les informations sont partout ; notre accès est fonction de notre niveau de conscience… et donc de la libération des chaînes psychiques, des croyances, schémas et autres automatismes)
  • Pré-science (Vous l’avez déjà vécu peut-être, quand vous savez que quelque chose va arriver ? Alors que factuellement rien ne semble montrer que cela est inéluctable pourtant… et ça arrive, sans que cela vous surprenne véritablement : juste la surprise de l’avoir su avant.)
  • Et comment s’appelle ce sens qui nous relie aux astres, aux fréquences cosmiques ? Nous sommes tellement impactés par ce qui se passe dans le Ciel, souvent sans en avoir conscience. Il n’y a qu’à voir notre thème astral de naissance pour vérifier que bien des choses étaient déjà écrites…
  • Et comment est nommé ce sens qui parle de notre relation à la Terre, aux fréquence telluriques ? Car de là aussi, clairement nous recevons des informations… qui sont d’ailleurs différentes en fonction du lieu où nous nous plaçons (que ce soit à l’échelle de la planète, d’un continent, d’un pays ou même d’une pièce).

La clairsentience est un canal de réception des informations cosmo-telluriques aussi.
Or, trop souvent, ne sachant pas d’où viennent les informations reçues ni même que ce sont des informations qui viennent du monde extérieur, et ne sachant pas quoi en faire, on tente de se couper de ses sentis et ressentis, pour être plus linéaire, lisse, prévisible… pour entrer dans le moule de la bienséance, de la bien-pensance.
Alors que d’autres personnes interprètent tout et n’importe quoi à leur sauce, voyant des signes partout, prenant leurs pensées et croyances associées pour des vérités, justifiant leurs comportements inadaptés (à la Relation, à la Vie) par des éléments qu’eux seuls perçoivent… peut-être parce que ce sont des pures projections personnelles. Je peux voir une baleine dans les nuages sans pour autant en tirer des conclusions impactant mon entourage voire le monde entier, sans (me) créer des troubles supplémentaires. Je peux toujours choisir le chemin de l’Amour et donc du respect.
Oui c’est en effet un équilibre délicat. Et le meilleur garde-fou est sans doute le Respect : respectons les points de vue de chacun, parlons des nôtres avec humilité sans tenter de les imposer. Conscience que mon point de vue parle de mon expérience et de pas grand chose d’autre.

Qu’en est-il de l’instinct et de la spontanéité ?

De mon point de vue, l’instinct est lié à l’intuition et à la sauvegarde. Il peut être très utile et efficace… et parfois provoquer des réactions inadaptées, car les informations méritent d’être aussi traitées par le néo-cortex pour véritablement garantir la sécurité. Souvent les mécanismes liés à une mauvaise gestion de la peur court-circuitent la réflexion : l’hormone du stress, le cortisol, inhibe les fonctions cognitives. Et parfois il y a impossibilité d’agir de façon optimale même si on sait précisément ce qui serait idéal, car les contraintes psychiques sont trop fortes à ce moment (manque de confiance en soi, timidité, sentiment d’indignité, crainte du jugement, orgueil, dissociation…)

D’ailleurs je me permets une petite parenthèse ici au sujet de la spontanéité, car instinct et spontanéité ont les mêmes qualités et les mêmes limites : ils peuvent tous deux être tout à fait adaptés à la situation et libérateurs et connectant (à soi, à l’autre, aux autres…) ou ils peuvent tous deux être carrément à côté de la plaque. Je pense que cela est fonction de la vraie liberté de l’être en question : sa réaction instinctive ou spontanée vient-elle d’une psyché relativement pure ou malade ? Le travail de libération des traumas les plus invalidants a-t-il été fait, sincèrement et avec efficience ?

Entraîner nos perceptions

A savoir : toutes nos compétences peuvent s’entraîner. Mais certaines se développent plus que d’autres pour telle ou telle personne. Il semble que cela soit prémédité/prévu antérieurement à l’incarnation. Peut-être un peu comme d’avoir une vue plus ou moins bonne… et cela aussi peut être accompagné dans une certaine mesure. (Dans l’exemple de la vue, l’accompagnement peut se faire par le yoga des yeux, divers soins aux yeux et au foie, peut-être la visite à la lignée en constellation/systémie, etc.)

Comme pour les autres perceptions, il s’agit avant tout d’accueillir ce qui est et ce qui change, sans pour autant se définir définitivement, s’identifier ni se limiter à cela. D’ailleurs nous avons des perceptions ; ce n’est pas ce que nous sommes.

Et lorsqu’il y a une nouvelle ouverture, c’est déjà de s’en rendre compte… même si elle peut sembler toute petite… et ce n’est pas si évident à une époque où on est « élevé » au sensationnel, à la vitesse, à la productivité, à la surconsommation…

Donc c’est d’être suffisamment attentif.ve pour voir quand un début de perception nouvelle se met en place, respecter cela, remercier, l’honorer, lui laisser sa place et éventuellement de faire des exercices pour lui permettre de grandir. Et j’ajouterais : y travailler oui, mais surtout sans se prendre au sérieux et croire que ça va marcher ou pas.

Le mental et l’ego doivent être mis au service du processus… et non engendrer d’autres croyances limitantes/excluantes ni d’ego spirituel.

Des clés pour plus de perceptions

Il s’agit avant tout de sortir de l’agitation, de la distraction, et d’affiner nos sensations. Il convient donc d’éviter les surstimulations, qui provoquent une sorte d’accoutumance dans le sens où on sent moins les messages plus petits/doux/légers, qui pourtant ont une grande valeur aussi.

C’est de remettre de l’émerveillement et de la gratitude sur les petites sensations, y compris quand tout est au vert : savoir se réjouir que tout aille bien, et sentir comme c’est quand tout va bien. C’est tellement précieux et vivant… et on s’en rend souvent tellement peu compte. Pourtant, je peux décider de sentir plus et vivre plus agréablement, simplement en mettant davantage de focus sur le bon fonctionnement de mon corps, de mon cœur, de ma tête… et plus encore !

Voici une lite non exhaustive de pratiques qui soutiennent l’affinage de nos perceptions :

  • Respiration calme et consciente (et différentes pratiques respiratoires)
  • Calme, méditation
  • Attention et détente
  • Prendre du temps pour Soi hors distractions
  • Observation, écoute, curiosité
  • Contemplation
  • Promenade dans la Nature
  • Rituel, prière, dévotion
  • Écoute des messages son corps-cœur-âme-esprit (sensations, émotions, intuitions…) et action consciente en fonction
  • Demande en vibrant cela puis lâcher-prise sur le résultat
  • Tous types d’art, de création, de construction… en conscience de ce qui est accompli et de ce que cela génère en soi
  • Et bien sûr stages et enseignements incarnés, comportant des pratiques (y compris les stages Tantra Sud-Ouest)

Guérir de ce qui parasite nos perceptions

Bien sûr, les clés indiquées ici n’évitent pas le boulot de fond : nous avons probablement toustes à libérer des tas de parasites qui nuisent à nos perceptions et à ce que nous en comprenons et en faisons.

Il est donc nécessaire de toujours continuer à visiter notre intériorité corps-cœur-âme-esprit pour prendre soin du récepteur. Cela se fait en mettant de la Lumière et de l’Amour sur nos zones d’ombre.

Il y a tout plein de méthodes possibles :

  • Stages correctement menés et accompagnés
  • Formations incarnées (par des êtres qui vivent leurs enseignements), en ligne ou en présentiel
  • Cursus thérapeutique holistique (je n’ai jamais constaté que la compréhension seule suffisait à guérir)
  • Soins au cas par cas, en fonction de ce qui est rencontré et du niveau où le problème prend racine
  • Quoi d’autre ?

A chacun.e son chemin !

Il est toujours temps d’en profiter

Mon conseil :
N’attends pas demain pour jouir de l’instant présent !
Et prévois-toi néanmoins plein de jolis présents ! Car tu es la seule personne apte à combler tes besoins véritablement et à te guérir… ce qui n’empêche nullement que tu aies besoin des autres pour l’un comme pour l’autre ! C’est ça, l’expérience de la dualité, dans l’incarnation terrestre.

Enjoy ! Tu es bien plus que ce que tu crois !… et bien moins aussi peut-être 😉

Au plaisir de continuer de m’accompagner et accompagner les êtres qui me font confiance (ou plutôt qui se font confiance au travers de moi) à trouver leur juste et bonne place sur tous les plans.

Namasté

Nelly

PS : Ce dessin m’a parlé pour illustrer cet article, car pour moi, vivre c’est avant tout sentir, se sentir, se sentir vivre.
(Je ne vois pas de signature sur cette œuvre, et ma recherche via Google Lens n’a rien donné, alors si vous en connaissez l’auteur.e, merci de me l’indiquer pour que je le/la mentionne.)