Et pour soulager vos jolis yeux, voici la version audio de cet article. C’est le premier enregistrement que je fais.
Nombreux sont ceux à s’être exprimés au sujet de la vérité
Dans l’enseignement de l’école de psycho-anthropologie selon Idris Lahore (et certainement bien d’autres), il est fait mention que l’humain a une double nature : animale et humaine, matière et esprit, physique et subtile… Il s’agit là d’une façon de s’exprimer, bien sûr limitée par ce que sont les mots eux-mêmes (des réductions/images/aspects…) et par les réactions émotionnelles du récepteur. Pour pouvoir entendre au-delà de mes limitations, je respire, j’écoute, je sens ce qui se vit en moi sans m’y identifier ni laisser toute la place au mental réactif, toujours prompt à critiquer/juger. En l’occurrence, il ne s’agit pas là de dénier la réalité et la grandeur de l’esprit des animaux (simplement d’observer qu’il y a des différences entre les animaux et les humains) ni d’un manque de compréhension des lois de la physique (tout est informations/vibrations, que ce soit tangible ou intangible…)
Et donc nous avons accès à tout moment à des tas d’enseignements… ou plutôt à quantité de réactivations de savoirs souvent enfouis et parfois inaccessibles jusqu’à ce qu’ils soient retrouvés, entendus, lus, compris et surtout ressentis pour être intégrés, réintégrés véritablement.
C’est de vivre l’enseignement en soi, dans sa propre vie, au quotidien le plus possible, qui en fait la valeur et la réelle compréhension.
Car parler d’Amour sans le vivre, ça sonne creux, n’est-ce pas ? Écrire sur la Conscience en étant inconscient.e de ses propres blessures, besoins, mécanismes, projections… c’est bizarre et peu adapté, me semble-t-il. Pour transmettre, encore faut-il vibrer ce que l’on souhaite offrir au monde… et c’est une œuvre à remettre sur la table chaque jour ! Il y a toujours des zones d’ombre et tous les humains ont du chemin à parcourir jusqu’à leurs derniers instants dans cette incarnation, avec humilité et aussi fierté du chemin parcouru.
Pour en revenir à une fraction de l’enseignement de l’école de psycho-anthropologie selon Idris Lahore, il est dit que l’humain aspire à :
* la Beauté (centre physique)
* la Bonté (centre émotionnel)
* la Vérité (centre intellectuel)
Nombreux sont ceux à s’est exprimés sur la vérité… et souvent pas de manière encourageante
(Il ne s’agit pas ici de donner mon avis sur les paroles de Platon ou Osho par exemple : seulement de laisser sortir ce qui a envie de s’exprimer ici et maintenant sur ce thème.)
» Personne n’a jamais été d’accord avec les personnes qui disent la vérité. Les mensonges sont doux. Les mensonges sont confortables, pratiques. La vérité ne fait pas de compromis. Vous êtes celui qui doit changer, qui doit s’adapter à la vérité. La vérité ne change pas, elle ne s’adapte pas à votre convenance. Les mensonges se comportent différemment : ils sont prêts à changer en fonction de ce qui vous arrange. C’est pourquoi le mensonge a dominé l’humanité, tandis que la vérité a été crucifiée. Les mensonges ont été couronnés et la vérité a été condamnée à mort. La situation n’a pas changé du tout, elle est toujours la même. Il suffit de dire la vérité pour que tout le monde soit en colère contre vous. Il suffit que vous disiez la vérité pour mettre en colère tous ceux qui vivent confortablement dans le mensonge. Vous avez troublé leur paix, vous avez interrompu leur sommeil, vous avez perturbé leurs doux rêves. «
Osho
Nombreux sont ceux à s’est exprimés sur la vérité… et à mon tour de m’y amuser un peu
La Vérité, c’est un bien grand mot qui désigne l’incommensurable, non accessible à l’esprit humain limité ; elle ne peut être cernée par les personnes. Néanmoins en montant en Conscience et en s’alliant à d’autres, on peut y avoir davantage accès. Le piège est de croire qu’on détient la Vérité, car par définition, elle n’est entière ni en étant résumée ni en étant attribuée.
Car probablement nul ne cerne complètement la Vérité… si c’est n’est peut-être certains éveillés… mais peuvent-ils pour autant la partager ?
Pour être au plus près de la Vérité et à son service, il s’agit juste de s’offrir à être le plus conscient possible de ses propres limites en fait… et de sa propre puissance créatrice aussi. Grandeur et petitesse : cela parle de l’expérience humaine, de l’expérience de la dualité : la Terre-école, la Terre-labo, l’expérience terrestre.
Pour les esprits tortueux et torturés que nous avons/sommes, la quête de Vérité est probablement ce qui peut nous sortir des vibrations les plus basses, nous permettre de nous élever en nous reliant à Plus Grand. Rares sont les esprits purs ici-bas. Les traumas sont nombreux et affectent la quasi totalité des humains. D’où l’importance fondamentale des soins à notre corps-cœur-âme-esprit pour la libération et la guérison à tous les niveaux.
Il me semble que c’est de plus en plus souvent et de plus en plus profond que ça brasse. Est-ce votre impression aussi ?
Ce serait la montée vibratoire de la Terre qui génèreraient tous ces changements en accéléré. D’où l’importance de très souvent se re.mettre à jour : ancrage, enracinement profond et reliance céleste. Il y a nécessité d’un positionnement clair, d’un alignement trouvé et entretenu au quotidien (tous les chakras vibrants et équilibrés), pour atteindre une version de réalité adaptée à la Vie et y rester, y évoluer… en profiter et en faire profiter le monde !
Cela me parle aussi d’accepter de mourir à la veille (et même à l’instant d’avant), renaître neuf, ouvert à d’autres réalités si on en est capable, à un nouveau niveau/taux vibratoire également. Cela parle aussi de l’opportunité sans cesse réofferte de créer depuis nos fréquences les plus pures, depuis davantage de Conscience et d’Amour.
Car les réalités sont multiples et chacune ne couvre qu’une infime part de la Vérité.
Tout s’accélère et il serait stupide de rester sur les mêmes croyances (qu’on prend souvent pour des vérités) sans les remettre en question, sans demander et recevoir les infos vers plus de Vérité et donc de réalités actuelles vues aussi à d’autres niveaux que les manifestations dans la matière et nos réactions émotionnelles et mentales.
Pour comprendre cela, il suffit de remarquer qu’une même scène sera systématiquement décrite différemment par presque tous les témoins… et que leur vécu également sera différent.
Et même si l’on arrive à ne garder que les faits concrets et vérifiables, est-ce pour autant la Vérité ?
S’ouvrir à plus de Vérité, c’est un soin que l’on s’offre et qui met naturellement un baume de guérison autour de soi aussi.
En Tantra, on part du principe que chaque être vivant est d’essence divine et que l’expérience terrestre est elle-même une étape divine : le Sacré est partout quand on sait le percevoir… et on le perçoit quand on se place dans le Sacré en soi. C’est le sens du Namasté : « Je vois et j’honore le Sacré qui réside en toi ».
Bien sûr, je ne peux m’exprimer que sur mes propres perceptions et compréhensions et à ma façon. D’autres façons de voir et de dire peuvent être tout aussi valables, en montrant d’autres aspects de ce même plan de conscience ou des facettes d’autres plans également existants.
Pour en revenir au soin voire à la guérison vécu lorsque l’on s’ouvre à plus de Vérité…
J’ai à maintes reprises vécu et vu cela… et j’ai alors été témoin de magie véritable, de miracles tout simplement.
Il m’apparaît que pour y avoir accès, des qualités majeures sont l’humilité et le courage. Car il s’agit non seulement d’accepter que le chemin suivi jusqu’à présent est un choix parmi d’autres… et pas forcément le plus adapté. Cela parle donc de l’humilité de reconnaître qu’on s’est trompé… et pas seulement qu’on a été trompé. Et d’autre part, c’est de se recentrer, d’écouter son propre cœur-âme et de prendre alors un chemin radicalement différent de celui qui nous a mené à l’impasse actuelle… et donc de sauter dans l’inconnu, hors de sa zone de confort (quoique devenu inconfortable à ce moment, c’est simplement ainsi qu’on parle du connu, de l’habituel).
De plus cela requiert autant que possible clarté et discernement : des qualités qui font aussi partie de la Vérité.
Et pour le passage à un autre taux vibratoire (et donc à d’autres réalités), il y a un autre ingrédient transformateur dont on parle beaucoup mais qui est souvent mal compris et peu accessible : le fameux lâcher-prise. Je vois cette clé/étape comme une prière, là où je m’en remets à Plus Grand, à autre chose que mon circuit mental et à mon ego, où je m’abandonne à l’intelligence supérieure de l’Univers… et qu’est-ce que c’est reposant !
Pfff… ça fait beaucoup, tout ça : comme s’il fallait déjà être capable d’humilité, de courage, de clarté, de discernement et de lâcher-prise pour pouvoir commencer à entreprendre le chemin vers la Vérité… et qu’on en était incapable sans cela.
Et bien non ! Inutile de nous chercher encore des excuses pour ne pas y aller, pour commencer plus tard (comme si demain on atteindrait tout cela en ne changeant rien ou d’une autre façon qu’en s’engageant sur sa voie).
En fait, ces qualités sont des clés de facilitation et elles sont toutes en nous… plus ou moins activées. Et justement elles se révèlent de plus en plus en avançant sur le chemin, en étant accessibles à tout moment depuis notre intériorité. Et donc là apparaît encore la nécessité d’une autre qualité : l’engagement !
Et oui ! Engagement et lâcher-prise vont de pair. Comme humilité et courage, comme clarté et discernement.
L’engagement est nécessaire au tissage sur différents plans, indispensable à la relation ainsi qu’à l’œuvre personnelle et collective jour après jour.
Or, l’engagement est malheureusement une valeur qui, elle aussi, fait souvent défaut à l’heure actuelle : je vois au loin plutôt une survalorisation des egos et des compulsions… et je suis tellement heureuse de recevoir en stage des êtres sincèrement en chemin, qui cultivent de leur mieux toutes ces qualités et que je peux accompagner et soutenir, avec reconnaissance et joie.
Accompagner, s’accompagner, se soigner, c’est en tenant compte de nos besoins et de notre fonctionnement.
Pour pouvoir utiliser correctement nos ressources, c’est justement aussi en prenant soin de notre énergie, et donc en sachant s’écouter soi-même : intériorité, âme, cœur, corps, mental, esprit… et en se régulant.
Autorégulation et co-régulation
En effet, il y a la nécessité de l’autorégulation (de soi à soi, en autonomie quand c’est possible/suffisant) ET de co-régulation (à deux ou plusieurs, dans des espaces-temps comme ceux proposés par Tantra Sud-Ouest). Ces deux fonctions permettent de :
- se réinitialiser,
- prendre soin de notre système nerveux (lui-même en relation avec nos centres physique, émotionnel et intellectuel),
- s’équilibrer,
- nourrir des aspects relationnels (à soi, à l’autre, aux autres),
- élever nos fréquences (quelques temps et plus longtemps si c’est régulier/fréquent/entretenu au quotidien) au-dessus des vicissitudes perçues (et générées) par le mental et l’ego,
- et bien plus encore…
Les êtres sont tous potentiellement des alchimistes, des magiciens, des chamanes, des guérisseurs, des maîtres… Intéressant de déjà commencer à l’être pour soi-même. Ensuite, à chacun son chemin, sa mission du moment, en écoutant/suivant son Cœur-âme.
Je rappelle ici qu’il n’est pas question dans la façon de percevoir le Tantra, de dénigrer le mental et l’ego : ils font partie du présent, de l’expérience humaine. Les discréditer, les inculper, vouloir les soumettre… sont des pièges de l’ego : ces comportements l’empêchent de se reconnaître lui-même. De là, c’est compliqué de s’accueillir pleinement et d’être aligné, chaque part à sa bonne place.
C’est d’ailleurs ce que l’on voit souvent dans certains milieux : l’ego spirituel, celui ou celle qui se croit meilleur que les autres, qui affiche un cursus et des compétences surévaluées… Sauf qu’il s’agit de déni voire de mensonge.
Régulation et réalité
Être en général entier (non dissocié, dans sa sensibilité) et régulé, c’est fondamental.
Bien sûr, c’est aussi en prenant soin de nos besoins physiologiques : par exemple, il est normal que la régulation ne tienne pas en cas de grosse fatigue.
Et c’est vrai que j’ai parfois du dégoût, du mépris, de la condescendance voire parfois même de la détestation… pour certaines personnes… même s’il paraît que ce sont des parts en moi que je projette à l’extérieur. Et c’est ok : humaine, la Nelly !
D’ailleurs en ce moment il y a un certain monsieur qui m’agace considérablement : c’est celui qui est venu en stage de 3 jours il y a presque 11 mois… et est parti fin du second jour pour un problème de santé… et qui m’ennuie depuis pour que je lui rembourse son 3ème jour. Il me harcèle de messages auxquels j’ai d ‘abord répondu avec bienveillance (lui rappelant le cadre qu’il a signé : pas de remboursement après le début du stage… et des explications sur l’intérêt de cette clause). Puis j’ai dit Stop (mais le consentement n’est vraiment pas son fort : il n’a vraiment rien à faire en stage Tantra où il ne fait qu’abuser de la gentillesse des personnes présentes. Alors je l’ai bloqué puisqu’il n’arrêtait pas de m’envoyer des redites et des menaces (mais oui va donc porter plainte…) Et depuis il me dénonce autant que possible sur les réseaux sociaux, jamais en disant les faits : en prétendant que je suis malveillante, pas alignée sur les valeurs du Tantra, etc. C’est peut-être moi qui vais finir pas porter plainte pour diffamation. Ce monsieur-là me fait bosser l’ancrage, l’enracinement et l’autorégulation… et je suis plutôt contente de moi : c’est assez paisible à l’intérieur. Ce qui m’ennuie, c’est que cette situation est venue taper dans un endroit sensible chez moi, puisque je me vois maintenant une réticence/méfiance à recevoir des hommes âgés (visiblement celui-là s’ennuie beaucoup à la retraite).
En cours de traitement !
La dérégulation est de moins en moins fréquente et de moins en moins forte néanmoins : je me soigne tout le temps… et ça ne prend pas vraiment de temps (là par exemple je suis en train d’appliquer plusieurs méthodes tout en écrivant)… et je me fais soigner aussi. J’arrive en général à rester dans une neutralité bienveillante voire la compassion.
Et c’est depuis l’Amour et l’écoute intérieure (avec en écho ce qui se manifeste à l’extérieur) que je fais mes choix de comportements et d’apports à ce monde : en fonction de ce qui anime quoi en moi et de ce qui vibre bon pour moi.
Mon mental et mon ego y trouvent leurs bonnes places. Avec un mental parfois tout de même envahissant : très bavard car il est zélé à me rendre service.
Rappel sur les émotions
Les émotions sont nos amies… aussi longtemps qu’elles sont entendues pour ce qu’elles sont : de précieuses messagères. Il est nécessaire d’écouter ce que dit vraiment l’émotion que je ressens : observation fine de ce qui se vit à l’intérieur, de quoi ça parle, à quelle part de moi, qu’est-ce que ça réveille ou endort chez moi, etc. Et de nommer l’émotion en question… qui est peut-être accompagnée ou hackée (cas des émotions-raquettes : lorsque par exemple je manifeste de la colère alors qu’en fait c’est la tristesse qui est là).
Pour correctement accueillir les émotions, c’est en les reconnaissant et en communiquant avec elles et avec les parts blessées en soi. Accuser ce qui a provoqué la réaction émotionnelle n’est pas ce qu’il y a de plus efficace pour se soulager, se soigner véritablement et profondément.
Toujours intéressant de se demander « Que dirait l’Amour ? », « Que ferait l’Amour ? » plutôt que de réagir automatiquement et de passer par là même à côté de la leçon, de l’enseignement et du soin qui sont à portée de l’être ouvert à les recevoir.
C’est ok de critiquer, de juger et même d’exclure… tant que c’est :
1/ en conscience de ce que je protège par ces comportements et ces choix.
Cela nécessite du courage et de l’aplomb… ce qui peut d’ailleurs sembler mettre un masque de froideur.
Parce que je pense qu’on n’est pas là pour réparer le monde entier (croyance du sauveur) : que déjà si on arrive à se faire du bien à soi-même à tous les niveaux sans nuire au reste de la Création, c’est chouette ! D’autant que cela rayonne bien au-delà de soi/Soi puisque nous faisons partie de nombreux systèmes eux-mêmes en interconnexion : « l’effet papillon » fait son œuvre.
2/ sans nuire sciemment à l’autre ni imposer son propre processus alentour : sans étaler sa haine sur/dans les réseaux, par exemple.
Lorsqu’une souffrance a pris racine dans une relation, il est délicat de savoir ce qui doit être dit à l’extérieur de cette relation, à qui, comment… que ce soit pour soi-même et/ou pour protéger d’autres victimes éventuelles (passées ou à venir si rien n’est fait).
Peut-être que le meilleur endroit pour soigner la souffrance, c’est alors dans le cadre d’une démarche thérapeutique : alors, probablement tout peut être dit sans nuire, et un.e thérapeute compétent.e saura accompagner à mieux comprendre les différentes facettes/ficelles de ce qui s’est joué en l’occurrence. Le pourquoi et le comment méritent d’être étudiés préalablement à éventuellement porter à la connaissance publique ce qui mérite de l’être.
L’humanité est limitée
Je ne peux parler que de mes points de vue (forcément limités, mais avec la volonté d’agir depuis l’Amour) et de mes propres croyances.
Et dans mes croyances, il y a :
* celles que je me suis choisies parce qu’elles me font du bien et génèrent du bon en moi et autour de moi : celles qui me permettent de vibrer assez haut, puisque les créations sont en fonction des fréquences émises par le créateur/la créatrice
* et aussi d’autres inculquées/pré-programmées et dont je ne me suis pas encore dépatouillée/dépouillée complètement. D’ailleurs J’aime particulièrement le terme « dépouillée » ici, car c’est bien de cela dont il s’agit : de poux, de parasites qui pompent mon énergie vitale… et que je peux choisir de combattre de diverses façons plus ou moins écologiques, plus ou moins efficaces, plus ou moins en conscience de leur rôle dans l’enseignement. Car oui là aussi (comme dans toutes les « épreuves », dans tous les messages, toutes les opportunités…) il y a des leçons fondamentales à tirer… pour apprendre concrètement et rayonner en Vérité.
Ouverture aux possibles, Liberté, Joie, reconnaissance… et extension de sa zone de confort !
On ne naît pas neutre. On arrive au monde déjà plein d’engrammes, au moins par nos gènes et notre vie in utero… et probablement aussi par notre destin et notre karma.
La naissance, l’arrivée sur Terre, est en général également traumatisante et peut marquer pour toute la durée de la vie (si rien n’est fait pour réparer cela).
Et un être si fragile et sensible a l’obligation de se mettre un tas de protections pour survivre à/dans ce monde.
Ayons de la compassion : tous les êtres humains connaissent/vivent la souffrance. Et malheureusement bien trop fuient, se dissocient en croyant que c’est la sensibilité qui laisse la place à la souffrance.
A ce sujet, je vous invite à lire justement l’article « Sensibilité et souffrance« .
Quand la Joie unit les cœurs, c’est magnifique.
Je fais le vœu que la conscience de la souffrance des autres ainsi que leurs besoins/manques unissent nos cœurs également. Car c’est le manque de lien à l’Amour, de connexion, qui fait disjoncter, qui fait faire n’importe quoi. Alors plutôt que détester, offrons de la compassion, de la douceur, de l’écoute, de la communication, de l’ouverture du Cœur… tout en prenant grand soin de ne pas se perdre soi-même, de ne pas se vider, de ne pas être pompé/happé par l’autre et sa maladie.
Et on a le droit de se préserver en excluant certains comportements et certaines vibrations de notre vie, en y envoyant le plus possible de Lumière et d’Amour. ET c’est tout bénéf pour toustes, puisque la Lumière et l’Amour nous traversent à profusion en nous nourrissant, sans que cela demande d’effort : il suffit de ne pas y résister.
L’humanité est grande
On grandit en acceptant d’évoluer. de changer même là où ça ne se voit pas, même sans en attendre de bénéfice direct, même quand c’est difficile de traverser nos ombres, nos zones d’inconscience. Même si c’est parfois un long chemin pour accepter sa responsabilité dans certaines situations et certains événements subis. Subis et aussi générés donc, même si c’est depuis des parts d’inconscient… et probablement aussi parfois depuis des parts d’inconscient collectif dont nous faisons partie, qu’on le veuille ou pas, qu’on soit d’accord ou pas…
Tendresse sur Nous.
Car tous ces démons sont en nous aussi… et nous les projetons à l’extérieur.
Et à un autre niveau, nous absorbons les démons projetés à l’extérieur et ils grandissent en nous.
Toujours nous choisissons, qu’on le veuille ou non, en conscience ou pas. Et ne pas choisir est aussi un choix… mais souvent pas le plus courageux.
Parfois probablement pourtant cela peut être le choix le plus courageux : quand c’est l’Amour qui le dicte, comme de choisir entre la vie de deux êtres aimés. L’Amour choisirait-il d’en tuer ou d’en laisser mourir un ? Qui sait ?
Inch Allah
Oui Dieu est grand.
Dieu, le Divin, la Déesse, la Nature, le Ciel, le Sacré, la Vie… : ce sont des synonymes.
Vive la Vie !
Réapprenons à nous émerveiller.
On n’est pas près de s’ennuyer !
Je ne suis pas près de m’ennuyer, avec un mental si galopant ! 😉
D’ailleurs je pars faire une promenade avec ma fille et nos juments ! (ou plutôt : les juments dont nous avons la chance et le bonheur d’être les gardiennes)
Merciii
Tendresse à toustes (et on en a bien besoin…)
Namasté
Nelly
Belle Duna et Nad’Or : de merveilleuses amies qui nous accompagnent et nous portent. Gratitude !
Magnifique texte et réflexions 🙏🌹
Merci, divine Magali <3
Tu fais partie de mes inspiratrices 😉