Bonjour !
J’ai l’élan de vous partager ce que je fais et vis en ce moment.

Après un super stage de respiration holotropique ce week-end (28-29 août 2021), avec Nathalie et Gilles, de Omater, en Ariège,
ce sera Tantra le week-end prochain (5-6 septembre), avec Daniel Odier, à Paris.
J’ai participé à 2 stages d’une femme qui l’a suivi 10 ans et ça m’interpelle: j’ai aimé qui elle était, ses qualités de coeur et ses compétences particulières/personnelles (sons) ; j’ai apprécié la Tandava et les massages cachemiriens. Et puis il y a eu les écueils liés au manque de cadre et à un laisser-vivre qui a nui à mon énergie (en stage femmes, c’était ok ; mais en stage couples, j’ai été pompée, alors que normalement les stages me donnent de l’énergie).

C’est un peu partagé en moi d’aller rencontrer Daniel Odier : je le sens bien dans ses livres et vidéos, et certaines personnes viennent en stage Tantra après avoir été inspiré par ses livres… et en même temps ça m’a fait bizarre de lire son avertissement à l’entrée de son site: il parle carrément « d’imposteurs qui souillent la voie » concernant ceux qui transmettent le Tantra sans permission. Pour moi, il s’agit d’une dissonance avec le Tantra tel que je le conçois : voie de libération, de responsabilité, de pouvoir personnel, de conscientisation de l’Unité… où l’on attend certainement pas l’aval de papa-maman pour s’engager selon son élan de vie/du cœur/de l’âme. Et puis ça me parle de jugement et de peurs/colères/émotions non traitées. Je vois cette part en moi qui juge le jugement, qui craint la critique et donc critique elle-même… et je respire dans ce qui se manifeste là. Merci.
J’y vais donc avec entrain et curiosité. (Ravie aussi de revoir enfin mes amies depuis la 5ème et leur adorable famille respective.)

Voilà ! Mon nez n’est plus vierge (test C obligatoire pour ces stages). Une part en moi ronchonne et une autre se soumet… ou bien c’est la même part qui ronchonne à ce sentiment de soumission, de s’abandonner à l’autorité, d’être rattrapée par des contraintes qui ne parlent pas à mon cœur…
C’est en cours de traitement : ça fige et ça bouge/bouscule… Je laisse le travail se faire à l’intérieur, en y mettant de l’amour, de l’acceptation de ce qui est, de la joie de vivre, de la confiance dans le processus et dans la vie.

Ce n’est pas précisément là que m’a conduite la phase de 4h de respiration holotropique que j’ai vécue ce week-end… mais ça en a aussi un peu le goût.
Ce week-end, j’étais arrivée au stage avec un état émotionnel inhabituel chez moi (agacement, frustration, colère sourde, fatigue, le corps qui chouinait à plusieurs endroits…) et de la confiance. J’avais cherché un peu une intention à poser ; je l’ai fait sans conviction et en étant tout à fait ok qu’autre chose se présente. J’y ai trouvé une guérison du Féminin et une guérison du Masculin. C’était booon et je sens que ça continue de s’infuser en moi.

Et puis une nouvelle piste de travail personnel s’est présentée pour moi avec le “conseil” d’une participante, après le stage; et surtout avec la réaction (de rejet) que ça a provoqué en moi (à ce qu’elle a dit, pas à elle) et sa propre réaction de fuite: elle a tourné les talons alors que je lui disais simplement et tranquillement que ce qu’elle me disait là me parlait aussi de ce que je ressentais vis-à-vis d’elle (c’est d’ailleurs aussi ce que j’ai dit à ceux/celles qui me disaient des douceurs… comme quoi, ce n’était peut-être pas avec amour qu’elle s’exprimait alors qu’elle me disait que je manquais d’authenticité. Je trouve cela drôle et affligeant en même temps). Intéressant, de voir les difficultés à se rencontrer de ces parts.

Ah! La psyché et ses méandres! De ce côté-là, je pense qu’on en a jamais fini, de se soigner, de se libérer des empreintes, des contraintes liées à l’incarnation et donc à la dualité.
Chouette! On ne va pas s’ennuyer! (Mais c’est quoi, cette peur de s’ennuyer??)

Et en même temps, quand je me place en mon centre, tout cela n’est qu’illusions et ne parle nullement de ce que je suis: Tout et partie du Tout.
Et en même temps, cela m’évoque le sens de la vie sur/avec cette magnifique Terre: en tant qu’êtres venus expérimenter la matière, c’est aussi dans la division, la dualité, la confrontation, la friction… et ses plaisirs!

Et en suivant mon désir/élan de vie, je vais (enfin!) profiter d’un stage de 4 jours “exploration des libertés” mi-septembre ? Des années que ça me pousse et c’est enfin maintenant qu’Emmanuelle Duchesne, créatrice de Slow Sex Love Life (au moins 6 ans que je la connais et l’aime, cette femme), organise ça.

C’est ça, la rentrée façon Nelly!
Et puis, je suis dispo pour les participant.e.s aux stages Tantra Sud-Ouest… qui reprendront dès le 11 septembre.
Au plaisir de vous re.rencontrer!

Pourquoi une photo de phénix?
C’est que je me sens dans une phase Feu, à brûler mes peurs/freins. Comme si je me dépouillais… et renaissais chaque jour…
C’est aussi qu’on est encore dans les travaux suite à un feu de friture (Ah la jeunesse! Là encore, m’est venu un sentiment d’échec, que c’est difficile d’être suffisamment présente aux jeunes pour leur enseigner certaines bases… mais peut-être aussi tout cela est d’une justesse imparable et porteur d’enseignements ? )
Egalement, je suis en ce moment Feu dans un mandala/tissage.
Et puis, le Feu me parle de guérison, de passage, de renaissance, d’autres possibles… ce qui est le thème ce mois-ci dans le cycle des 13 mères originelles: la Guérisseuse. Merci à mon groupe mené par Alexandra Fojt, de Bisawake.
Et c’est peut-être là qu’en est “notre” monde aussi… En train de se/nous consumer. Phase de purification par l’absurde? A suivre…

Retour à la simplicité !
Je suis. J’aime. Je suis amour. La vie est belle ! Merci.

Namasté
Nelly

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