c« J’aime trop la vie pour ne pas l’honorer vraiment »
La situation actuelle (extérieure, sociale, mondiale, « sanitaire »… et qui fait écho avec ce qui se vit à l’intérieur) m’amène à une réflexion et une introspection profondes et quotidiennes.
Je me sens, la plupart du temps, heureuse, joyeuse, privilégiée, sur ma voie, à ma bonne place… et j’observe aussi ces parts en moi qui soufflent, râlent, grognent, veulent changer ce qui se manifeste (sans forcément travailler sur les racines),
J’ai intégré cette phrase qui fait du bien et met l’être dans sa puissance : « Je suis au bon endroit, au bon moment, avec la/les bonne.s personne.s, pour vivre la bonne expérience pour moi. » Oui cela me parle et crée une fréquence vibratoire qui me permet de vibrer d’une façon qui attire ce qui m’est bon et plutôt doux (1).
Et puis rece.voir ce qui m’est bon et doux, c’est aussi en fonction de comment je choisis de perce.voir les choses, de la conscience que j’invite à m’accompagner dans ma vie, au quotidien. (Aujourd’hui je me figure plutôt la conscience comme une merveilleuse partenaire que comme une partie de moi. Peut-être parce qu’elle n’est pas intégrée totalement comme pour un être éveillé. Juste, j’oeuvre de mon mieux pour être présente à ce que je vis/agis et j’ai l’impression d’avoir des instants avec l’esprit lucide… et c’est déjà chouette !)
« J’aime trop la vie pour ne pas l’honorer vraiment », ça me renvoie à… l’Amour bien sûr ! ET ce sera la première partie de mon développement (et là je me rends compte que cela ressemble à une dissertation de philo : ptdr !)
Et puis vient un grand questionnement, sous-jacent selon moi à ce thème, car je fais partie de l’humanité et je cherche des réponses/solutions à mes peurs existentielles : quelle est ma part de responsabilité ? Concrètement, que faire, comment être, pour un monde meilleur, avec plus de bonheur, de bonté, de justesse, de vérité, de paix, de joie ?
Parce que la vie vaut la peine d’être vécue. Quoiqu’il en soit, puisqu’on est là -et pour relativement peu de temps- autant en profiter, n’est-ce pas ?
Mais c’est quoi, profiter de la vie ? Certainement pas seulement survivre (consommer et excréter), sans conscience de notre grandeur et de nos possibles.
L’Amour est peut-être le sujet de tout, le seul.
Ici je le traite seulement en relation avec :
* d’abord le respect, la liberté (ce qui me fait plus penser au pôle Masculin : le cadre et l’axe)
* ensuite la confiance, la célébration (ce qui me ramène davantage au pôle Féminin : l’énergie, les vagues de vitalité-repos, l’exubérance autant que le lâcher-prise)
Définir l’Amour, cela peut être en le distinguant de l’amour : des croyances associées, à ce qui devrait être fait quand on aime ou est aimé.e.
A mon sens, l’Amour ne demande rien : il est Tout, partout, à tout instant. C’est un synonyme de Dieu, du Créateur, de la Déesse, de la Vie, etc.
Et quand j’aime véritablement, ce n’est pas assujetti à des conditions de conformité : j’aime quoiqu’il en soit, et dans cet Amour il peut y avoir des phases où la vibration change parce que je suis humaine, avec des corps (physique, émotionnel, mental…) et des états d’être (en pleine forme, fatiguée, agacée, avec la connerie…)
Et quand j’aime véritablement, je ne re.cherche pas à être aimée en retour. D’une part parce que je ne peux aimer vraiment qu’en m’aimant moi-même (et donc j’ai/je vis déjà l’Amour dont j’ai besoin), et d’autre part parce que l’Amour est une offrande à la Vie (rien à voir avec « Je te donne ceci alors tu me dois cela). Aimer ne crée pas de dette, d’autant que l’Amour enrichit d’abord celui/celle qui laisse se déployer et rayonner cette qualité d’Être. Aimer, ce n’est pas s’attacher ni contraindre l’autre : c’est être libre et se réjouir de la liberté alentour, du flux de la vie qui se manifeste naturellement dans le Vivant et les interactions entre les vivants (2).
(Non non je ne prône pas la libéralité sexuelle à tout-va : être libre, c’est quand on agit en conscience, depuis son centre, son Coeur, pas de façon compulsive et croyant/disant que c’est du Tantra.)
D’après ma construction intellectuelle, il y a deux piliers à l’Amour : le respect (en lien avec la liberté et ses limites, pour être juste avec les humain.e.s que nous sommes) et la confiance.
Or, la confiance, ça ne se commande pas, mais ça peut s’apprivoiser, se cultiver.
Pour me déployer/révéler dans une relation, j’ai besoin de m’y sentir dans une relative sécurité. (J’ai le mental bien trop actif pour toujours et totalement m’y laisser couler en toute sérénité, et bien sûr la Vie a bien joué avec ma principale blessure d’âme : la trahison (3).)
Pour moi, construite de/par mes peurs, entrer dans la confiance a été un choix conscient : c’était trop pénible, de toujours m’inquiéter, ressasser l’ensemble des problèmes/dangers possibles… et tenter de me préserver… de la Vie en fait !
La Vie, c’est le mouvement, le changement, l’impermanence, la fluctuation, la rivière qui coule, le vent qui souffle, le feu qui brûle (y compris nos peurs et colères et tristesses…), les cycles, Tout (tout et son contraire et leurs nuances)…
Vivre vraiment, c’est avec la nécessité de lâcher-prise, de s’en remettre à… ce qui doit être… ou tout autre vue de l’esprit qui permette de s’abandonner au flux avec confiance/souplesse et vigilance/lucidité. Nous avons tous des croyances (souvent plus ou moins invalidantes) ; où en sommes-nous avec la Foi ?
Honorer la Vie, c’est l’accepter entièrement et la célébrer, avec passion.
Néanmoins, comme tout humain, je vis sur différents plans. Etant d’une constitution plutôt intellectuelle, je fais de mon mieux pour intégrer mes autres centres (physique et émotionnel), et pour atteindre les taux vibratoires plus élevés : l’émotionnel supérieur et l’intellectuel supérieur.
D’autres n’ont pas besoin de ce genre d’acrobatie pour comprendre, bâtir et méditer naturellement. A chacun.e son chemin !
Dans ma conception, j’ai besoin de compréhension intellectuelle pour entrer dans la confiance et adhérer (tout en restant toujours vigilante, ce qui est aussi ma façon d’être à l’écoute, sensible). Même si je sens intuitivement que c’est ok pour quelque chose ou que ça ne l’est pas, je vais m’interroger avant de poser ma décision, aussi pour vérifier d’où vient mon choix. A force de pratiquer cet exercice, c’est plus rapide et plus efficient : je sais/sens maintenant si, par exemple, ma méfiance ou ma répulsion viennent d’un réflexe conditionné (un souvenir, une croyance… à aller visiter donc !) ou d’une réalité à prendre davantage en considération pour ma sécurité.
Et j’en viens donc à la notion de responsabilité.
De quoi suis-je responsable ? Dans quelle mesure ?
De quoi l’autre est-il responsable ? Dans quelle mesure ?
Et donc : c’est quoi, la responsabilité ? Et c’est qui, cet autre ?
En pensant à l’autre, un sketch à la Raymond Devos m’est venu ; peut-être le jouerais-je un jour.
Quelque chose dans le style : « Dans la salle d’attente du cabinet de mon médecin – du temps où on avait accès à une salle d’attente quand on attendait 1h12 son tour de 5mn qu’on essayait de faire durer 7mn pour rentabiliser le temps d’attente d’1h12 – et qu’on avait à disposition des vieux magazines que jamais on n’aurait acheté et que encore plus jamais on n’aurait ouvert avant la 54ème minute d’attente, et qu’en plus si jamais on en touchait un aujourd’hui on aurait l’impression d’être assailli par 3 milliards de virus et qu’on sauterait sur le gicleur de gel hydroalcoolique et qu’on irait foutre une gueulante à tout le personnel du cabinet pour leur inconscience et le danger qu’ils vous font courir certes mais surtout à la grosse petite vieille là-bas avec de toute évidence plusieurs facteurs de comorbidité … Donc, dans la salle d’attente du cabinet de mon médecin, je feuilletais un magazine de bien-être ou de développement personnel – d’ailleurs je trouve ça drôle voire bizarre leur façon de donner des méthodes et des recettes qui se disent personnelles, valables pour chaque individu, tout en disant que toutes les personnes sont différentes et ont à adapter selon leurs besoins propres ; autant ne rien dire alors et laisser les arbres tranquilles, non ? – et donc dans ce magazine tout plein des microbes laissés par au moins 50 personnes au moins et des pas très fins au vu de la date, du froissage et de l’usure des pages et particulièrement de la couverture partiellement décolorée par les frottements, et donc dans ce magazine : un article sur la responsabilité. Il s’appelait « La responsabilité : chemin vers la sérénité ». Je sais pas pour vous, mais moi, quand on me dit que je suis responsable de ceci ou cela, je me sens pas serein du tout : j’ai plutôt l’impression qu’on m’engueule, qu’on me demande des comptes, qu’on veut que je fasse quelque chose pour réparer ma bêtise… alors j’ai été intrigué et j’ai lu. Je ne savais pas qu’il restait encore presque 18mn avant que le médecin vienne me chercher, alors j’étais tout stressé à me demander si j’allais avoir le temps de finir ma lecture, si je n’aurais pas encore du temps à dépenser inutilement après ma lecture, si j’allais comprendre ce que cet écrit voulait me dire, si ça n’allait pas encore plus m’énerver… Et donc je commence à lire, et je crois comprendre qu’il y a un distingo très fort entre responsabilité et culpabilité : la responsabilisation c’est bien, alors que la culpabilisation et la culpabilité c’est pas bien – j’ai lu et un peu compris aussi qu’il ne faut pas dire que c’est mal parce que rien n’est mal, mais alors qu’est-ce qui peut être bien quand il n’y a pas de mal en opposé au bien et qu’on peut pas dire non plus que c’est pas bien parce qu’on ne peut pas définir quelque chose pas son opposé et que l’Univers n’entend pas la négation – et c’est quoi cet Univers – et puis uni-vers quoi d’ailleurs ? – qui aurait des oreilles immenses pour tout entendre les demandes de chacun et un cerveau tellement petit qu’il ne comprend pas la négation ? Et le truc ultime sur lequel je vais méditer quelque temps – ou plutôt réfléchir parce que méditer je suis pas vraiment doué pour l’instant ; je vais peut-être prendre des cours pour devenir bon en méditation -, probablement pas toujours avec une grande sérénité, c’est quand on vous explique qu’on peut vivre tranquille et heureux puisque de toute façon tout ce qui se manifeste, tout ce que l’on voit autour de nous, c’est selon les principes de la physique quantique, la résonance de ce qui se passe à l’intérieur de soi ! Et il propose d’être tranquille avec ça ! Que c’est à cause de moi en fait que j’ai eu un accident de voiture, même si c’est l’autre qui m’est rentré dedans en glissant un stop, que c’est ma faute si je suis tombé et encore plus de ma faute si je me suis cassé la jambe… Et c’est ça la voie vers la sérénité ? Pas sûr d’être équipé pour comprendre ça.[…] »
Voilà, je le verrais bien dans ce goût-là, ce sketch… et cela permettrait de bien voir en effet que tout ne peut pas être compris intellectuellement… ou en tous cas pas avec les mécanismes psychiques de notre programme de base : il faut y mettre plein d’extensions, pour sortir du binaire et développer des perceptions bien plus vastes autant qu’une attitude d’ouverture face à la Vie et à ses propositions.
Pourtant, probablement tous les adultes en chemin ont remarqué qu’en changeant (même légèrement) de regard et de comportement, bien des modifications se font naturellement alentour.
Exemple : Elle me ramène un 2/20, en baissant les yeux de honte et de crainte quant à ma réaction.
De là, comme de partout (les carrefours sont accessibles à chaque moment), de nombreux possibles s’offrent : certains qui me semblent évidents (et ne fonctionnent pas forcément pour le mieux-être de chacun.e) et bien d’autres bien moins connus voire carrément inexplorés voire d’accès invisible.
Selon là où j’en suis à ce moment, je peux :
* la regarder de travers, lui demander des explications, l’engueuler
* m’inquiéter, lui dire que c’est terrible, qu’elle doit absolument faire davantage d’efforts pour avoir le métier qu’elle veut
* la regarder avec étonnement et/ou curiosité, la prendre dans mes bras si je vois que c’est son besoin, lui demander comment elle se sent, ce qui lui ferait du bien
* lui dire direct que je m’en fiche des notes et qu’elle pourrait s’en désintéresser aussi : ce n’est pas ce qui indique sa valeur ni ce qu’elle fera de sa vie
* critiquer l’enseignement et/ou la notation de son/sa prof, monter au créneau
* prendre calmement son interro, la froisser ou la déchirer, la mettre à la corbeille ou la brûler et ne rien dire… ou dire « Retourne étudier. Je contacte ton professeur pour qu’il te fasse faire une autre interrogation écrite sur le même thème »
… et bien d’autres possibles, avec une multitude de nuances qui changent tout : selon l’intention, l’authenticité, les expériences passées, les projections…
Et en fait je pense qu’il n’y a pas de recette pour la meilleure réponse et qui soit valable dans tous les cas de ce genre : c’est depuis l’écoute empathique/bienveillante, à corps-coeur-esprit ouverts, qu’une attitude opportune se manifestera, une parmi d’autres… et il s’agit de laisser aussi de la place à l’humanité, à ses travers autant qu’à ses grandeurs.
« Tout est important ; rien n’est grave. »
(Celle-là, elle est de moi… ou du moins je ne me souviens pas l’avoir déjà lue ou entendue.)
Et j’en viens à un autre axe de ma réflexion : quelle part ai-je réellement dans la relation et dans ce que j’y vis.
Ma grande question : création ou co-création ? Et aussi : quid du destin et du karma ?
En fait, une seule question vue sous plusieurs angles.
Et en fait, la réponse est peut-être dans la question…
Vous savez, c’est l’histoire de l’atome qui change de comportement quand il est observé.
La physique quantique (que je ne prétends pas comprendre vraiment) montre à quel point tout est relié, et qu’il suffit d’un petit changement, que l’on pourrait croire insignifiant, pour lancer l’énergie dans une nouvelle direction avec une nouvelle dynamique.
Alors ça donne le vertige, mais je fais une hypothèse : et si tout dépendait uniquement de moi et de mes choix conscients et inconscients, de la façon dont fonctionnement ensemble mes parts d’ombre et de lumière, de Féminin et de Masculin, d’Animal et d’Ange…
D’ailleurs ce que l’on voit n’existerait qu’à l’instant où notre regard se pose dessus (et que notre cerveau l’analyse : nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont réellement mais telles que nous pouvons les percevoir d’après ce que nous sommes). L’autre serait alors issu de nos projections mentales (des fermentations, comme mes pensées ?) Et je le crée par ma pensée et mon verbe. Tout comme, à certains moments, j’ai l’impression d’être le miroir et la création de l’autre (pour autant, sa vision de moi n’est pas similaire à la sienne).
Et si je suis un être souverain, il m’appartient de travailler sur mon intérieur : écouter ce qui demande à être visité, accueilli, traversé, transcendé, nourri, pacifié, unifié…
Oui ma responsabilité est pleine et entière. J’accepte cela et c’est ainsi que je suis dans ma puissance : ce que j’ai fait je peux le déconstruire, le ramener au point zéro de création, ou y ajouter un élément qui change l’ensemble totalement et irrémédiablement. Il ne s’agit pas de la toute-puissance de l’enfant-roi, mais du pouvoir personnel de l’être adulte, mâture, humble et fier à la fois : je suis et j’agis avec le plus de conscience possible pour moi à ce moment, en accueillant de mon mieux, dans l’espace infini de mon Coeur, tout ce qui est.
Alors, quelles solutions pour aimer et honorer la Vie telle qu’elle se manifeste maintenant ? (Puisque seul l’instant présent existe, faisons-en de merveilleux instants d’éternité.)
Quelques pistes :
* Écoute, observation
* Acceptation (versus soumission à quelque chose d’extérieur, versus lutte intestine : nous sommes UN)
* Vérité et simplicité
* Humilité et fierté
* Alliance Féminin-Masculin
* Se positionner, dans le flux
* S’ancrer, s’aligner, se connecter, de relier : placer la verticale avant d’ouvrir à l’horizontale
Bienvenue à vos recettes personnelles ! Si elles vous procurent paix et joie, si elles vous permettent de vivre l’Amour, c’est que ce sont de bonnes recettes pour vous (et intéressantes à partager : d’autres pourront alors en profiter aussi… et leur bonheur nous éclaboussera aussi : c’est gagnant-gagnant !)
Ce que l’on constate dans des processus comme les Constellations familiales (selon les principes de la systémie) ou la création de réalité (Yann Thibaud, Écologie intérieure), c’est que la réalité est :
* d’une part multifacettes (d’où l’importance de faire le pas sur le côté, de prendre et d’accueillir divers points de vue…)
* d’autre part pas du tout figée (même ce que notre mental considère comme le passé est en fait modifiable et modifié en permanence)
Bien sûr, je parle toujours de mon processus, de ce que j’observe et donc depuis mon fonctionnement de base. Certainement d’autres modèles existent et sont complémentaires de ces mécanismes in.conscients (il paraît qu’à la base c’est 90% de comportements/mécanismes inconscients, conditionnés)… et s’ils me parlent d’eux, probablement ne pourrais-je encore les écouter qu’aux niveaux auxquels j’ai accès et selon mon référentiel culturel. D’ailleurs, probable aussi que des personnes de nature plus physique ou émotionnelle (pour ma part, je cultive ces centres de mon mieux, mais mon tempérament de base est plutôt intellectuel) puissent me lire, m’écouter et me comprendre… selon leur propre prisme.
Car en fait nous sommes près de 8 milliards d’humain.e.s sur Terre, et nous avons autant de religions (de manière de l’interpréter et de la vivre) et autant de regards et autant de chemins…
Voilà qui me donne le vertige et en même temps me réjouit : la Vie est unicité autant que diversité, multiplicité.
Comme disait Osho : « Le seul péché, c’est l’identification ». C’est lorsque l’on (se) met une étiquette, que se croit comme (étant) ceci ou cela et qu’on croit l’autre comme (étant) ceci ou cela, qu’on se coupe de notre grandeur, de la conscience de notre puissance et de l’impermanence, de « l’autre », du flux… Juste « je suis », c’est suffisant, et c’est un hommage à la Vie.
Les stages Tantra Sud-Ouest accueillent les personnes en chemin, depuis là où elles se présentent, et les accompagnent selon leur rythme, à restant à leur écoute et en leur permettant de s’entendre elles-mêmes : là réside Tout.
Au plaisir de viiivre pleinement ! C’est ce que j’appelle vivre le Tantra, qui pour moi est un synonyme de « Vie pleinement vécue, à ses différents niveaux, en reconnaissant et en intégrant tous ses centres et toutes ses parts ».
Belle vie chaque jour, à chaque instant !
Namasté
Nelly
(1) doux : Ce dernier critère (la douceur) est une demande expresse de ma part à l’Univers, à la Vie, à Dieu, à la Déesse, à Plus grand que moi, au Grand-Esprit… Pour cela, il est nécessaire d’être sorti.e des conditionnements, sur la souffrance en particulier, et d’avoir accepté de reconnaître et d’accepter et de transcender les peurs.
(2) vivants : selon mon expérience, les vivants (humains, animaux, végétaux, minéraux, et aussi les objets dans lesquels on a mis de la vie) décédés (qui ont quitté leur enveloppe physique) font aussi partie du Vivant.
(3) Pour mieux comprendre, lire le petit ouvrage de Lise Bourbeau « Les cinq blessures qui empêchent d’être soi-même »
Une bien intéressante plongée dans le miroir, un miroir à la fois personnel et collectif que nous pourrions tous (utilement) traverser sagement pour nous retrouver en Vérité de l’autre côté.
Merci pour ton commentaire qui me fait chaud au coeur, Stéphane 🙂 Au plaisir!