Il s’en passe des choses, dans une vie humaine ! Et pas que de l’agréable, du tranquille, du doux… Et parfois c’est encore pire pour mon émotionnel et mon mental lorsque je constate que d’autres vivent ces mêmes faits avec sérénité, confiance voire joie, enthousiasme…

Le cerveau humain et la simplicité, c’est deux mondes radicalement différents… et sensiblement connexes.
Je vois aussi bien ces 6200 pensées par jour générées par mon cerveau (en moyenne) que cette trajectoire, cet axe qui néanmoins mène la danse… et dont je peux reprendre la maîtrise en m’ancrant, en m’enracinant, en m’alignant, en me connectant, en acceptant la reliance avec tout le Vivant (et également avec les parts qui m’irritent… ou plutôt auxquelles je réagis, qui me parlent des zones d’ombre, des voiles de mon inconscience…)

Le chemin l’épanouissement de l’être me semble très lié à la simplification.

La simplicité me parle de clarté, de respiration dans ce qui est/se manifeste/se cache, d’ajustement sur des fréquences hautes, de libération des schémas émotionnels/mentaux (non qu’ils ne doivent pas/plus exister, mais que je peux les voir/prendre de plus haut, sans être bouleversée à chaque instant, par mes réactions conscientes et inconscientes, les jugements, les croyances des un.e.s et des autres, les dénis et refus…)

Oui oui j’arrive à rigoler de tout… et j’ai bien l’intention de continuer : rien ni personne n’a la capacité de me voler l’essentiel, l’essence-ciel. Et si cela arrivait, c’est que j’aurais démissionné de la Vie telle que je la perçois maintenant, que tout ce qui me constituait dans ce présent n’était qu’illusions… qui laisseraient la place à d’autres… Quoiqu’il en soit, ne finirons-nous pas tou.te.s, tout bientôt, par simplement nous désintégrer dans le Grand Tout, rejoindre Plus Grand ?

Ce que je suis profondément, c’est inaliénable et accessible à tout moment, pour peu que je cesse de croire que le problème vient de l’extérieur, de l’autre, des autres… qui sont réellement et concrètement de merveilleux partenaires pour me parler de moi et de là où j’en suis, d’avec quoi je suis, du niveau auquel je vibre à ce moment…

A mon sens, il n’y a pas véritablement de problème, pas de problème insoluble : plutôt de possibles prises de conscience, des enseignements plus ou moins accessibles vers plus de justesse, des étapes à vivre et transcender… Il s’agit de passer/dépasser/surpasser/transpercer pour vivre véritablement dans la conscience que je suis la créatrice de ma vie, de mon chemin, de mes embûches, de mes émerveillements et magnificences, petitesses et rigolades, tristesses et cavalcades, épuisement et entrain…

Et c’est ok de parfois pleurer, chouiner, râler, baisser les bras, crier sa détresse… puis de passer à autre chose : accepter ce qui est (ou plutôt ce que j’en vois/perçois, sachant que ce qui est c’est bien plus que cela), c’est LA nécessité pour grandir et s’élever… et jouer/jouir de la vie, plutôt qu’être un pion manipulé par son monde émotionnel/mental… et qui croit que le film est la seule réalité.

Res-pi-rer, s’accueillir dans son vécu, sa réalité, son vrai du moment, se détendre si possible.

S’il y a interaction, laisser l’autre res-pi-rer, s’accueillir, l’accueillir dans son vécu, sa réalité, son vrai du moment. Le.la questionner avec douceur sur ce qui (se) passe en ielle.
Constater et être tranquille avec les zones qui ne se détendent pas (il s’agira d’en prendre soin dès que possible), laisser le temps au processus, en s’aidant de techniques comme la CNV ou la communication bienveillante ou Tipi ou toute autre méthode.
Sortir de l’injonction envers soi et l’autre : c’est ok de ne pas être d’accord.
Se respecter, respecter l’autre, demander le respect.
Prendre du temps pour Soi, s’écouter, écouter en s’écoutant (au niveau émotionnel, et non en préparant la “bonne réponse” à faire), se laisser ouvert.e et perméable, laisser passer ce qui est de l’ordre du passé, faire/agir depuis son coeur, dire “non, merci” quand ça fait non, dire “oui, merci” quand ça fait oui, réajuster, se dire, demander sans attente, s’offrir du bon (activités, repos, tendresse…)
Nourrir ce qui épanouit/fait du bien… et se faire soigner quand ce n’est pas possible : peut-être l’humain.e est-ielle pas fait.e pour la Relation, pour expérimenter ce que c’est que de ne pas être Tout En Soi ?

Comment se préparer puis vivre le meilleur pour soi ? Et en y étant déjà au niveau vibratoire : c’est à cela aussi que peut nous servir notre intellect relié à notre coeur et à notre corps. Et naturellement j’attire alors ce qui résonne avec mon nouveau taux vibratoire.

Lutter contre ce qui est ?

Du point de vue de la spiritualité, ça n’a pas de sens. C’est le métaprincipe de réalité, sachant que la vérité est multidimensionnelle et qu’une petite part seulement est accessible à l’humain.e, surtout lorsqu’ielle vibre à des fréquences basses : peur, haine, dégoût, colère, tristesse, croyances, culpabilité, culpabilisation, honte, toute puissance sur l’autre, sentiment de supériorité ou d’infériorité, déni de l’Un.ité, manque, etc.

D’ailleurs le maître tantrique Osho expliquait :

“Il y a deux possibilités : le mental politicien dit : « Changez le monde ! »
Le mental réellement spirituel dit : « Changez votre attitude mentale ! »
Il est possible qu’un jour la science et la spiritualité se rencontrent parce que leur approche est similaire. Peut-être que leurs directions sont différentes – la science fait ses recherches sur le monde extérieur, et la spiritualité sur le monde intérieur. Mais la qualité de la recherche est la même.Mais je ne vois aucune possibilité de la moindre rencontre entre la spiritualité et la politique !
La politique pense toujours que le monde est mauvais, qu’il faut changer la société, les structures économiques, et que tout ira bien un jour. La spiritualité dit que le monde a toujours été comme il est, et qu’il sera toujours pareil ; vous ne pouvez changer qu’une chose : votre attitude mentale.”

Plutôt avancer vers ce qui nous correspond profondément, pas à pas, en accueillant chaque nouveau Présent avec gratitude/confiance (même si la peur, la colère, une part de désespoir… sont là aussi). Se dé.poser en soi, se re.centrer… et continuer avec engagement et courage, délicatesse et force, en traversant nos ombres, en levant les voiles de notre inconscience…
Les âmi.e.s sont là, partout. Tu n’es jamais seul.e. Je ne suis jamais seule. Nous ne sommes jamais seul.e.s, mais soutenu.e.s par l’Essentiel : Mère-Terre et Père-Ciel, et l’essence de tous les Êtres de la Création.

Enjoy ! Je suis un être puissant. Tu es un être puissant.
Chaque individu et chaque groupe sont intrinsèquement puissants, créateurs, car dans le grand tissage, la toile de la Vie… et il suffit d’un micro-changement pour que Tout se réajuste naturellement.
“La peur n’éloigne pas le danger”… mais plutôt le génère, alors traversons vaillamment les voiles de nos peurs et vivons véritablement, au-delà de toutes (nos) limites !

La vérité est partout… et surtout ailleurs 😅

Les stages Tantra Sud-Ouest

Soutien à l’Être, par la magie de l’Infini Présent 🥳

Namasté 🙏🥰

Nelly

La chenille l’a bien compris (ou le pratique quoiqu’il en soit) : la nécessité de se laisser mourir, de lâcher définitivement l’ancien, ce que nous étions ou croyions être. Laisser mourir en soi, de soi, ce qui n’a plus lieu d’être, qui n’est déjà plus, ce qui se réfère au passé, à l’identification, à ce qui n’est plus d’actualité et ne nous permet pas de nous épanouir à la mesure de ce que nous sommes profondément. Pour devenir papillon, s’élever, polliniser, c’est en acceptant notre grandeur, notre “merveillosité” !

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